LE CANAL DE BERRYJeudi 14 octobre 2010 @ 10:59:18Vous préférez prendre le vélo ou faire de la marche à pied ...
Pendant cette promenade de 261 kilomètres, le long de l’un des plus petits canaux de France qu’est le canal de Berry, déclassé depuis 1955. Ce canal a la particularité d’être trois canaux en un seul, puisqu’il est constitué de trois branches distinctes qui se rejoignent à Fontblisse, commune de Bannegon dans le Cher.
Branche nord-ouest : Fontblisse-Noyers-sur-Cher via Dun-sur-Auron, Bourges, Mehun-sur-Yèvre et Vierzon – mise en service en 1831 – longueur 142 km. La branche nord-ouest se prolonge par le Cher canalisé jusqu’à Tours (la première écluse est à Saint-Aignan-sur-Cher). Parmi les 3 branches, je choisis en premier la plus longue à faire à vélo bien-sûr, c’est-à-dire, de Saint-Aignan à Fonblisse, 142 km sur ses berges. A l’origine du projet, le canal de Berry n’est qu’un canal latéral au Cher de Montluçon à Vierzon, prolongé par le Cher canalisé jusqu’à Tours. En cours de réalisation le projet change de forme et le canal latéral prévu quitte le Cher pour grimper vers Sancoins et rejoindre le canal Latéral à la Loire à Marseilles-lès-Aubigny, tandis qu’une autre branche s’en détache pour rejoindre le Cher par les vallées de l’Auron puis de l’Yèvre à partir de Bourges. Dans cette conception d’alors, il comprend aussi le Cher canalisé de Noyers-sur-Cher à Tours, ainsi que le canal de jonction du Cher à la Loire à Tours. Ingénieur Joseph Dutens, entré à l’Ecole Royale des Ponts en Chaussées en 1783, fait ensuite toute sa carrière dans ce corps, dont son principal travail d’ingénieur est la réalisation du Canal de Berry. A la jonction du canal latéral à la Loire et du canal de Berry est née Marseilles-les-Aubigny, cité batelière au cœur du Berry et du Nivernais…
JOUR (1)
Le matin tôt du 16 mars je pars sur mon VTT et chargé avec mon sac à dos, passant par Loches et Montrésor. Les 80 km à faire jusqu’à Saint-Aignan, point de départ, défilent moins vite qu’avec mon vélo de course.
Je roule sur les berges du canal, tantôt à gauche, tantôt à droite et avance lentement vers le sud-est. Le canal semble en bon état et tout à fait adapté pour faire d’agréables promenades à pied ou à vélo.
Je tourne autour de l’ancien port et les trois écluses de Noyers-sur-Cher qui portent le nom de ‘Trompe Souris’, ‘des Roches’ et ‘Hémonière’ et remarque une différence non négligeable de gabarit entre ces écluses.
Ce petit gabarit a entraîné de fait la conception de bateaux spécialement adaptés à ce canal, les ‘berrichons’ aux dimensions maximales de 27,50m x 2,60m, et pouvant porter 60 tonnes dans le canal de Berry, et 100 tonnes sur les autres canaux.
L’agrandissement de l’écluse de Noyers, dans les années 1850, a donné lieu à une véritable bataille entre Noyers et Saint-Aignan-sur-Cher, chacune voulant la gare fluviale de transbordement. L’administration, tranchera en faveur de Noyers, bien à l’abri des crues du Cher, ce qui nécessitera l’agrandissement de l’écluse de manière à pouvoir accueillir les grands bateaux du Cher vers le Bassin du canal.
Pour modestes qu’ils soient, ces trajets restaurés démontrent de façon sensible une volonté intercommunale et interdépartementale de la réhabilitation de l’ouvrage dans son entier. Dans les années à venir, la liaison Bourges-Noyers pourrait se concrétiser offrant ainsi une navigation d’environ 80 km.
Pour les amoureux de l’eau, il y a la balade en coches de plaisance sans permis.
Par Châtillon-sur-Cher, je descends du Pont-canal de la Sauldre pour chercher à prendre la photo de ses cinq arches, 64 mètres de long et 3 de large sans remarquer que je perds mon stylo pour prendre des annotations, ce qui m’oblige de faire un détour par la ville de Selles pour en acheter un.
Je passe aux maisons éclusières du ‘Val de Sauldre’ et la ‘Thizardière’ à Selles-sur-Cher.
JOUR (2)
Le Canal de Berry, réalisé entre 1808 et 1840, a été conçu dans le but de transporter le charbon des mines de Commentry, dans l’Allier, vers les forges du Berry, entre Saint-Amand-Montrond et Vierzon. Le charbon était l’énergie indispensable à l’alimentation des hauts-fourneaux qui fondaient le minerai.
Il était aussi prévu que le canal, en rejoignant la Loire puis les canaux bretons en projet à l’époque, pourrait permettre aux produits des forges du Berry et du Nivernais de rejoindre l’atlantique pour alimenter les arsenaux de Brest et Lorient.
Le Canal de Berry aujourd’hui est en grande partie la propriété des communes qui le bordent. Les maisons éclusières ont été abandonnées dans les endroits les plus isolés, transformées en maisons de vacances, ou sont encore parfois habitées.
En arrivant à la maison le compteur indique 227 km.
Le matin tôt du 11 avril je pars pour la troisième fois au canal mais cette fois-ci je passe par Loches, Ecueillé, Valençay et Chabris à Villefranche-sur-Cher.
Peu après, sur la commune de Mennetou–sur-Cher, je remarque que le trop plein du canal sera conduit vers un petit ruisseau un peu en contrebas.
Au centre de Mennetou ce pont-levis seul possède encore son tablier en bois bien préservé. En général les tabliers sont remplacés par des tabliers fixes en béton, ce qui bloque toute circulation sur le canal.
A Châtres-sur-Cher, tout en regardant à gauche et à droite le paysage, sans regarder devant, je m’arrête au tout dernier moment, voyant mon passage bloqué par un déversoir qui coule vers une rigole plus bas. La hauteur de l’eau me fait descendre de vélo afin de faire le détour. Je n’ose pas traverser à vélo au risque de glisser et tomber.
Sur le territoire de la Communauté à Vierzon, le canal s’étend sur environ 16 km. Des travaux sont prévus sur 5 ans et concernent le réaménagement des berges afin de faciliter l’accès piétonnier sur les communes de Méry-sur-Cher, Thénioux et Vierzon.
De plus, des aménagements ont été réalisés afin de mettre en valeur le canal notamment à Thénioux où une aire d’accueil touristique a été construite le long du canal.
A Thénioux je remarque comme l’écluse est étroite.
En arrivant à Vierzon-ouest, l’Autoroute A.20 passe juste au-dessus du niveau de l’eau. Impossible de passer.
Le matin tôt du 28 avril je repars directement à Vierzon avec mon vélo de course en passant par Montrésor, Valençay, Varennes-sur-Fouzon, Ste.Cécile, St.Christophe-en-Bazelle, Bagneux, Anjouin, Genouilly, Dampierre-en-Graçay et St.Hilaire-de-Court.
Je passe quelques petites constructions relatives au canal de Berry et son époque.
Quand j’arrive au centre de Vierzon j’admire l’écluse d’un côté et de l’autre côté . . . . , une grande place avec des routes et des bâtiments, aucune trace de canal !
Je cherche la suite du canal tout en roulant vers l’est. Plus loin dans la ville je le retrouve et continue à pédaler sur ses berges.
L’écluse suivante se trouve à Givry.
La cité est connue depuis le 9ième siècle, tant par des sources écrites que par des sources archéologiques. Au Moyen Age, la ville se développe autour de l’église et du château.
A Marmagne je termine ma journée sur les berges en changeant une dernière fois la chambre et quittant les berges je rentre par Sainte-Thorette, Reuilly, Vatan et Loches.
Voiture garée au centre ville de Bourges, je pédale à Marmagne où je reprends la suite du canal à l’écluse des ‘Bulles’, située à côté du château.
A l’époque, des travaux de construction du canal venant de commencer, le Conseil général du Cher demande en septembre 1810 que le tracé du canal passe par Bourges en offrant de payer 500.000 francs pour ce nouveau tracé.
A chaque fois, la vue sur le canal par rapport à la position du soleil est différente.
A Bourges sud, le canal est interrompu et transformé en routes ou terre séchée.
De chaque côté des constructions : à l’ouest des maisons d’habitation en construction et à l’est des habitations déjà construites et situées près d’une base de loisirs.
Ici se trouve tout un trajet asséché du canal.
Sur les 261 km que compte le Canal de Berry, environ 80 % est soit en eau, soit à sec mais dans un état récupérable. Les 20 % restant sont, d’une part répartis par petits bouts sur tout le linéaire, d’autre part aliénés au point d’avoir fait disparaître et parfois irréversiblement, le canal.
Ce n’est qu’à l’écluse de l’Etourneau que le canal reprend sa valeur.
La vue sur le canal entre l’écluse de l’Etourneau et l’écluse de Lassay.
A l’approche de Plaimpied-Givaudins.
Passage à Saint-Denis-de-Palin.
A Dun-sur-Auron, lieu idéal pour des excursions, j’admire les fortifications et photographie en passant le beffroi dans le centre ville.
Ici s’arrête la randonnée de la journée ; je mange devant le panneau de sentiers de randonnées, quelques petits pains et gâteaux et pédale via la D.953 et La N.76 à Bourges où je retrouve la voiture.
Datant du 12ième siècle, le château, partiellement détruit au 16ième siècle est alors complété par un corps de bâtiment de style début Renaissance. Restauré à la fin du 19ième siècle, il a conservé un aspect moyenâgeux.
Déclassé puis aliéné à partir de 1955, le canal a été vendu pour un franc symbolique du kilomètre aux communes riveraines qui en ont fait ce que bon leur semblait alors. Certaines l’ont conservé totalement ou partiellement en eau, d’autres l’ont abandonné aux broussailles, d’autres enfin l’ont bouché, ont construit dessus.
La première écluse, celle de ‘Beaupuis’, fait bien voir où les cordes des berrichons furent fixées.
L’écluse suivante s’appelle ‘Boisberré’.
Les écluses se succèdent maintenant : ‘Monceau’ ; ‘Verneuil’ ; ‘Gaumains’ et l’écluse ‘Le Pondy’.
Quand j’arrive ensuite à l’écluse ‘Galand’ je constate que le passage sur le chemin de halage est impraticable. Un grillage avec panneau ‘prive’ fait que je pédale de retour et passe par l’autre berge du canal. Assez rapidement je me heurte à un mur . . . de broussailles. En voulant essayer de passer, j’ai croisé plusieurs araignées avec leurs toiles et j’ai pas mal de traces d’épines sur les jambes. Voilà longtemps qu’un être humain est passé par ici.
Je retourne et cherche une route goudronnée. Faute d’avoir apporté la carte Michelin avec moi cette fois-ci, je suis obligé de chercher moi-même la route. Je trouve un chemin mais je n’ai aucune idée où celui-ci mène.
Pour aujourd’hui cela me suffit. Je retourne à la voiture. J’ai roulé 82 km.
Le matin tôt du samedi 24 juillet, je repars en voiture à Charenton pour faire avec le VTT la fin de la première branche du canal entre le terrain privé près de l’écluse ‘Galand’ et Fontblisse.
Arrivé à Fontblisse, je fais ma première photo ; à gauche se trouve le canal pour Montluçon ; à droite le canal pour Marseilles-les-Aubigny/canal latéral à la Loire et devant se trouve la maison éclusière Fontblisse avec le canal pour Noyers-sur-Cher. <
Les noms des maisons éclusières, plus ou moins lisibles, se succèdent : ‘Les Aubris’, ‘La Croix d’Epouse’ ; ‘Le Petit... reste illisible’ ; ‘La Baraque’ ; ‘Lavau’.
C’est ici aussi que je remarque que ma deuxième grande bouteille d’eau est absente. J’ai dû la perdre sur cette berge en mauvais état. Par moment il y a des trous à peine visibles par la verdure et avec les vibrations, je suis bien content d’avoir une selle SMP.
A l’aqueduc sur la rivière ‘Auron’ je m’arrête. Le déversoir mobile dans le canal de Berry pourrait servir en cas de trop plein.
La commune ‘Le Rhimbé’ interdit toute pêche pendant une année.
Par la maison éclusière ‘Liénesse’, le château du 16ième siècle se fait bien admirer de tous les côtés.
Saint Aignan-des-Noyers : le vieux pont n’est plus en service et des travaux de curage sont en cours.
Le choix par le concepteur Dutens d’un petit gabarit lui a été dicté par la faiblesse des ressources en eau de la région de Sancoins, où est le point culminant du canal. Il s’est inspiré du réseau britannique conçu pour des bateaux d’un port de 40 tonnes. De plus, l’emprise foncière étant moins importante, un tel canal revenait moins cher à construire. Mais ce petit gabarit s’est très vite révélé un mauvais choix qui allait handicaper gravement ce canal interdit de fait aux bateaux plus gros, et notamment aux péniches flamandes de gabarit Freycinet (38,50m x 5,00m).
Sur le canal vous trouverez des anciennes usines à Grossouvre avec ‘Halle de Grossouvre’. C’est ici qu’il s’est ouvert, il y a un an, un musée où vous pouvez voir des films, expériences, tableaux interactifs qui se succèdent pour le bonheur des petits comme des grands et vous plongent dans l’univers de la métallurgie d’hier à aujourd’hui.
et même la maison éclusière du ‘Marais’ est abandonnée.
Je n’ose pas m’approcher davantage de la maison de peur que l’état de la ferraille se plie sous mon poids.
Je vois encore de l’eau mais les berges sont devenues impraticables.
Par La Guerche-sur-Aubois, 3.500 habitants, Le viaduc de la ligne de SNCF passe au dessus de moi. Le passage est étroit en dessous et une quantité de ronces me chatouille les jambes.
Quittant l’autre côté de la Guerche, remarquez le déversoir à droite et le canal à gauche.
Au bout de ma route je tombe sur le Canal latéral à la Loire ; un vrai canal et actif avec beaucoup de bateaux de plaisance. Les vacanciers sont arrivés !
Jusqu’en 1950 ; c’est ici, dans le port de Marseilles-lès-Aubigny que s’effectue le transbordement des marchandises entre les bateaux du canal de Berry et ceux du canal latéral. Se côtoient alors quotidiennement, les berrichons (26,60m x 2,60m), au gabarit du canal de Berry, les bâtards (30m x 5m) et les péniches ‘Freycinet’ (38,50m x 5m), au gabarit du canal latéral.
Au centre de Marseilles-les-Aubigny et en souvenir du Canal de Berry se trouve un pont-levis qui nous rappel ce début de l’industrialisation régionale importante.
D’ici vers le nord le canal Latéral à la Loire conduit à Beffes,
vers l’est la piste ‘La Loire à vélo’
et vers le sud le canal latéral à la Loire mène à Cuffy, où il se trouve le Pont canal du Guétin, partie intéressante du site du Bec d’Allier à cause de sa plage, auberge, et bien-sûr son pont-canal.
Tous les efforts fournis pour chercher à suivre le Canal de Berry sur ses berges m’ont assoiffés et mes deux bidons sont pratiquement vides.
A Montluçon je commence au rond point avec le Quai de Normandie. Le nom est là mais pas plus. Il n’y a pas d’eau. Le canal est remplacé par des arbres depuis longtemps déjà.
Aujourd’hui c’est encore L’usine ‘Dunlop’ qui reste à voir sur la photo.
Régulièrement je rencontre des panneaux explicatifs sur le canal.
Déversoir et moulins de ‘Les Trillers’.
Ecluse de ‘Chantemerle’ à Vaux.
Maison éclusière abandonnée.
Ecluse de Roueron.
Le grand père de François Mitterand, Gilbert Théodore, naquit dans l’écluse de Roueron le 12 janvier 1844.
Maintenant c’est l’heure de visiter le musée.
Dernière photo du musée.
Banc de poissons.
Les bateaux du canal au fil du temps.
Je continue à rencontrer des panneaux explicatifs et des maisons éclusières.
Maison éclusière de ‘Nassigny’ se trouve en travaux et sa vue.
Maison éclusière de la ‘Métairie Basse’.
Un peu plus loin je rencontre ce panneau et ce pont-levis.
L’écluse ‘La Queune’ à Vallon-en-Sully.
Cette écluse-double de La Queune, située à Epineuil le Fleuriel, pays d’Alain Fournier et du Grand Meaulne.
De l’autre côté le canal est bouché.
Je suis quelque temps le GR.41 pour voir où cela mène, mais je le quitterai plus tard en pleine campagne.
JOUR (9)
La première photo de la journée c’est la maison éclusière à Charenton.
A la maison éclusière ‘Petit Vernet’ j’entre en conversation avec le propriétaire, un marinier de carrière de 89 ans et qui a acheté cette maison en 1965.
La maison éclusière suivante : ‘Boutillon’.
La maison éclusière suivante : ‘Gateau’.
Maison éclusière sans nom.
La maison éclusière suivante : ‘Le Breuil’.
Un barrage / un déversoir ?
La maison éclusière suivante : ‘Clairins’. ,/p> Je rentre dans la ville de Saint-Amand-Montrond.
Je passe prudemment le long des stands et remarque qu’à cette heure-ci du matin il y a déjà un grand nombre de visiteurs. Je suis accosté par un jeune homme qui vient de s’acheter un vélo VTT ; il me demande ma pompe afin de gonfler le pneu de son vélo.
Un peu plus loin j’approche un pont-levis en bon état.
A partir de Saint-Amand, le canal se dirige vers Montluçon.
Peu après le passage au village de Drevant, je constate que le canal se trouve à sec et est suivi peu après par un beau pont canal également à sec.
Le pont-canal de La Tranchasse, quant à lui, est l’ouvrage le plus important du canal de Berry : longueur totale 96 mètres sur 8 arches surbaissées, largeur totale de 8 mètres, construit entre 1828 et 1832.
Un coup d’œil à l’église de Ainay-le-Vieil et je file à Urçay pour rentrer ensuite en passant par la N.144 et la D.1, le raccourci via Coust à Charenton-sur-Cher où je retrouve la voiture.
Aujourd’hui à l’état d’abandon, le canal de Berry fut utilisé jusqu’en 1955, soit sur une période de 121 ans, durant laquelle les péniches qui le franchissaient ont acheminé le charbon des mines de l’Allier vers les forges du Cher et le minerai de fer du Berry vers les fourneaux de Montluçon.
L’avenir du Canal de Berry à vélo :
Le Conseil général en sa séance du 23 juin 2008 a décidé de fixer le montant prévisionnel du marché de maîtrise d’œuvre pour l’étude de l’itinéraire cyclable du Canal de Berry à 520.000 Euro, et a autorisé la poursuite de cette opération, notamment pour les procédures de choix d’une équipe de maîtrise d’œuvre et les études pour la réalisation de ce projet.
Pour ma part, mon périple à vélo pour tous ces jours s’élève à 1.509 kilomètres. |
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